Alors que le genre humain s'est répandu allégrement dans la galaxie, soumettant a sa logique conquérante nombre d'astres, vivants ou mort, la lune, est quasiment laissée vacante. N'intéressant plus grand monde, elle reste le repère de bandes d’humanoïdes désœuvrés qui vont prendre des initiatives salutaires.

Peu à peu, ces bandes hétéroclites, constituées de clones, d'humains premiers, de cyborgs de différents genre, parviennent à s'organiser et à s'autogérer, dans une forme d'économie basée sur le capital énergétique, la recherche et la prospection.

Renversant le vieux système en place qui n'avais déjà plus d'intérêt sur cet astre, cette non-nation naissante reprend les infrastructure et entreprises en main sur la base du volontariat, se plaçant en autogestion, collectivisant simplement ce qui doit l'être. Seuls quelques voix de protestations un peu égarées de quelques dignitaires se font entendre, sans engendrer plus que ça de remous dans la galaxie.

Revers de la médaille de la liberté totale, les loisirs sont proscrits, incluant souvent un coût non nécessaire et considéré comme relevant de l'ordre ancien. Après 80 années de pratique extrêmement laborieuse mais extrêmement enrichissante, Noname (dont le nom n'est pas sans être un clin d’œil) le premier système anarchiste fonctionnelle de la galaxie, inspirant peu a peu de nombreux autres groupe humains, déstabilisant définitivement les ordres primitifs que constituent l'idéologie poussiéreuse des nationalité.